Adieu très cher Paolo
Dès l’aube, une lumière translucide, crème, ivoire et mordorée, envahissait délicatement le paysage givré par une poussière de neige. Là, dans nos bras, il nous a quitté, un rayon de soleil sur son visage apaisé, à l’instant même, miracle de la musique, où il écoutait Luiza sur l’Ipod, comme si Carlos Jobim était venu le prendre par la main, las, il est parti, hélas il s’en est allé…
Dans nos pensées, dans notre coeur, dans nos oreilles, il reste pour toujours, pour toujours.
Adieu très cher Paolo.
Brigitte
Storie Vere: Paolo Radoni, JL Rassinfosse, B Castellucci (Album Storie Vere 1988)
photos de Bernard Rosenberg, Paolo Loveri, Jos L Knaepen, Bubu, Michel Binstok
Je suis loin, je suis là. Je vous aime.
Si Tom vit, Paolo vit.
J’y crois pas.
J’ai les yeux embués… mais la tête pleine de souvenirs et de sourires…
Merci Paolo.
Adieu.
Ciao Paolo,
j’essaie d’oublier ma tristesse en pensant au bons souvenirs; les notes de ta guitare et ta voix qui résonnent encore dans ma tête.
Je te remercie pour tous ces beaux moments qu’on a passé ensemble, sur scène et ailleurs.
Bart.
Il y a tellement de choses à dire … Et si peu de mots qui consolent vraiment.
Tu nous manques déjà Paolo.
Brigitte, Leïla, tous vos amis sont près de vous et partagent votre douleur.
Adieu Paolo.
Merci pour tous tes conseils, tes enseignements, ta musique, ton sourire, tes encouragements et tout le reste.
Comme nous tous ici bas, je ne t’oublierai pas.
Merci pour tout Paolo, de toujours m’avoir donner le courage de m’accrocher.
Je ne t’oublierai pas.
Adieu l’Ami… En tant qu’ancien organisateur de concerts, je peux témoigner que te recevoir au Lion S’Envoile était toujours un plaisir et une garantie de grande qualité musicale. Merci pour ta convivialité et ton humour, Paolo. Ces merveilleux souvenirs m’accompagneront sur le chemin…
Eternels sont l’ombre et la lumière, le son et le silence, la présence et la profonde absence…
Paolo, que les plus belles notes t’entourent encore où que tu sois.
Paolone…
ovunque tu sia sentirai sempre le voci, i pensieri e l’affetto di tutti, a cui hai trasmesso tutto ciò in cui vale la pena credere.
Sarai per sempre dentro i nostri cuori, ci hai incatenato a te e per questo ti diciamo tutti grazie e: bravo! bravissimo per tutto ciò che sei per noi.
Solo uno spirito immenso può donare così tanto, e tu lo hai fatto.
Ti abbraccio fortissimo, caro amico
Sergio
Au dela de ta grande musicalité j’ai encore gravé dans ma mémoire toute les belles histoires que tu me racontais.
Aujourd’hui en écoutant tes notes bleue je ne peut contenir ma peine.
Adieu cher Paolo , je ne sais que dire, c’est vraiment trop injuste
Surtout ne me secouez pas ,je suis plein de larmes,Professore
est parti ! à toi qui racontais des phrases beaucoup trop longue mais drôle quand même,à toi qui m’a soutenu dans les moments les plus dur de ma vie,à toi qui,en 2 phrases, a changer ma vie musicale à tout jamais,je te souhaite de t’amuser comme un fou la haut,de leurs montrer tes plus beau voicing de guitare ,je t’envois tout mon amour et ne te remercierais jamais assez pour tout ce que tu as fais pour nous tous ! respect soul brother !luv u,D
A bientôt très cher Paolo.
Je serai toujours présente pour ta fille, Leila, qui est une personne très important à mes yeux.
Paolo,
C’est avec beaucoup d’émotion que j’ai appris ta mort hier…je voulais te dire que je suis fier d’avoir été ton élève et de t’avoir connu.
Je te dis merci pour m’avoir ouvert les oreilles, merci pour tes encouragements, merci pour ta musique et ta bonne humeur.
Tu vas me manquer.
Julien.
The rest is…..silence…
love, Ron
Une vague de souvenirs de submerge.
1972 Genève. Tu jouais du rock sur une 335 rouge et moi du jazz. Nous avons fait duo immédiatement. Puis nous avons suivi un parcours parallèle mais semblable. Musique et pédagogie.
1983 Bruxelles Concert avec toi aux lundis d’Hortense.
1983 mai Concert en duo avec toi à Marignac la veille de la naissance de ma fille Palma.
1987 Bruxelles Visite chez toi. Nos enfants ont quasiment le même âge.
2007 Trente ans. J’ai suivi de loin ton parcours sur le net. Et aujourd’hui la nouvelle de ton départ.
Très cher ami, je garde précieusement les images de nous et le son de ta voix dans mon coeur.
Brigitte, je te serre dans mes bras.
Gabor
Je l’apprends à l’instant et je suis sous le choc. Le symbole de la joie de vivre, l’initiateur artistique attentionné, le bon mot toujours prêt, Paolo nous laisse là, orphelins de maître d’étude, de père spirituel, de musicien hors pair, d’ami … le coeur gros, gros, gros …
Alexandre et Françoise, on pense beaucoup à vous.
Eric et Brigitte
Buon viaggio Paolo.
Restera cette indicible ‘tristezza’.
Jacqueline Colmant
Albert Sauer
Très cher Paolo,
J’ai appris la nouvelle hier soir et je n’y crois toujours pas… Quelle tristesse…
Les photos sont chouettes,c’est bien toi, rieur et espiègle.
Comme je regrette de ne pas avoir eu le temps de te parler avant ton départ trop rapide…
Je te connaissais depuis quelques années… Depuis que j’avais découvert le jazz au détour d’un stage d’été…
Des cours, des jams, « l’ Ecole du Mercredi » à l’Athanor, quelques concerts avec « tes 5 chanteuses » et ce sacré solo de Sarah Vaughan … et puis la Marlagne, le bar du Sounds…
J’y suis retournée plusieurs fois à ton cours d’ensemble parce que là je savais que c’était du velours pour la chanteuse !. On le savait toutes, on voulait toutes aller chez toi.
Ton talent, ta gentillesse, ton profond respect pour les gens, ta dégaine inimitable, ton sourire, tes plaisanteries,les bons mots, ta voix, tes encouragements,ta façon de danser pendant le cours et … on s’est découvert un amour commun pour les matous …
Toujours élégant Paolo… Personnage chaleureux et généreux.
Je suis très fière que tu aies accepté de partager avec moi un « Corcovado » sur scène et, plus tard, d’un bisou que t’es venu me faire parce que t’ avais été étonné par un de mes solos… Parce que tu étais comme ça toi, spontanné.
J’ai plein de beaux souvenirs…
Et à lire ton blog, je crois que je ne suis pas la seule personne qui aura croisé ta route et reçu tout ça de toi.
Tu manques déjà à beaucoup d’entre-nous, j’en suis sûre.
On entendra encore longtemps résonner dans nos têtes tes « REMARQUABLE ! » 😉
Allez, au revoir Paolo…
Véronique
Adieu Paolo, toi qui m’as offert le respect et enseigné la fierté, et tout mon amour à toi Brigitte, qui avais su faire la place pour entendre mes questions, même sans me connaître.
Paolo, ton rayonnement réchauffe notre coeur pour toujours, je sais qu’à tous tu as su nous offrir beaucoup de toi-même et tous ceux qui t’ont connu avancent dans la vie transformés par ton amitié. Merci pour ton soutien sur scène et pour être accouru si vite quand il a fallu harmoniser mes compos, tu m’as donné une belle leçon de générosité. Tu es un exemple à suivre et tu seras présent pour toujours. Des larmes pour ceux qui te perdent aujourd’hui, mais plus tard ce seront des sourires en pensant à toi! Bon voyage…Gros bisous. LizaDee.
Too much pain Sir Paolo but we’ll meet again for sure
We’re devastated Corine & I and tears keep flowing…
I promise to become an expert in italian wine
Hope you can read your mail up there!
Tchao bello
Richard Belgium
Paolo, tu es parti en emportant une partie de nous-même, c’est toute une génération de musiciens qui se retrouve avec un bout de cœur arraché, comment la terre pourra-t-elle continuer à essayer de tourner rond sans toi?, sans ta voix, ton sourire, ta gentillesse, ta noblesse du cœur, ta musique et tout ce que tu étais, je tape sur ce foutu clavier, et ma gorge est nouée, saloperie de vie-loterie où les meilleurs s’en vont et les salauds restent pour mettre le monde à feu et à sang, la dernière fois que je t’ai vu, c’était il y a 6 ou 7 mois, je jouais en solo pour l’ouverture du magasin d’un pote, quand j’ai joué Luiza sans savoir que c’était ton morceau préféré, j’ai mis 10 secondes avant de comprendre d’où venait cette voix divine qui chantait la mélodie enlacée aux notes de mon piano, tu étais juste au dessus de moi penché sur la balustrade du premier étage, c’était un moment magique, un de ces petits instants que l’on n’oublie jamais, aujourd’hui je sais que tu es parti en écoutant ce morceau et ça m’émeut vraiment, t’étais pas qu’un musicien vieux frère, t’étais aussi un magicien, il n’y a qu’à écouter ta musique et lire ce que disent les gens qui t’aiment pour le comprendre, à bientôt mon ami, tâchons tout de suite de faire aussi bien que toi, et pas demain comme nous deux qui avions dit qu’on se téléphonerait pour s’inviter un de ces soirs … je te phonerai dans mon âme mon ami là où habite désormais une partie de toi, ciao bello aujourd’hui la vie est triste mais la gaité reviendra t’inquiètes 😉
C’est avec émotion que j’apprends le deuil qui vous frappe cruellement et je tiens à m’associer à votre peine.
Je suis sûre qu’il manquera beaucoup à tous ses élèves…..
Antoinette.
Chaque fois que nous nous sommes vu, nous nous sommes « rencontrés »…
Quelques jams ou nous avons croisés nos manches ou quelques verres et beaucoup d’éclats de rire…
Au hasard dans un relais chateau sur les routes de France l’été 2005…
C’ était toujours brillant, amusant et surtout délicieux.
A tout jamais.
Bon vent, Paolo!
Paolo mon ami,
Au-delà du talentueux musicien, de l’initiateur et de l’irremplaçable coach musical, du sage contradicteur avec lequel c’est un régal de parler toute une soirée, du meilleur spécialiste des pâtes alio et olio que je connaisse (la dernière n’aura pas lieu), mélangeant dans le même plat subtilités du parmigiano regiano et nouvelle anecdote sur l’origine de la trompette coudée de Dizzy, permets-moi d’évoquer ton humanisme, ton immense capacité à positiver les choses de la vie.
Avec toi le mot drame n’a jamais eu de sens. A plusieurs reprises j’ai pu te voir mettre de côté toute activité non absolument essentielle pour voler au secours d’étudiants, de jeunes musiciens qui se trouvaient parfois dans les pires difficultés de la vie.
Avec la patience doublée d’une finesse toute latine, tu partais plaider leur cause auprès de personnes ou d’administrations plus ou moins fâchées par la situation un brin Rock & Roll dans laquelle ils se trouvaient, et tu parvenais toujours à faire renaître l’espoir.
Puis tu t’effaçais discrètement ; avec l’élégance de la discrétion devrais-je dire.
Merci quand, il y a bien des années, tu es venu m’aider à mon tour, avec toute ta sagesse (« lorsque l’enfant paraît… » çà ne s’oublie pas). Comme nos derniers mots l’un pour l’autre il y a à peine quelques jours, l’amitié avec toi est empreinte d’estime et de respect.
Merci pour avoir pris la patience de me transmettre un peu de ton savoir musical. Hier soir pendant que je jouais, je me suis souvenu sur plusieurs morceaux du conseil précis que tu m’avais donné à l’époque. Certains remontaient au Kaai…. Tout çà n’aura donc pas été vain.
On voit sur ce blog combien tes amis sont nombreux. Ils pensent tous à toi, mais c’est parce que toi, tu n’as jamais oublié les autres.
Adieu Paolo,
C’est un grand choc pour nous tous, c’est incompréhensible !!
Je n’oublierai jamais tes enseignements, tes conseils, tes encouragements, ta gentillesse, ton dévouement, ton ouverture d’esprit et le respect que tu avais pour chacun de nous tous! Merci aussi pour toutes ces conversations que nous avons eues et ta bonne humeur, toujours revigorante!
Grazie mille Maestro!
Toutes nos condoléances et plein de courage aux tiens!
Ciao Paolo!
Alain
Voici ce que nous avons fait publier dans Music in Belgium.
Nos condoléances aux proches.
News
Décès de Paolo RADONI
/ paru le 24/12/2007 /
Article le plus lu du trimestre à propos de: News
* › D’autres concerts pour LED ZEPPELIN
Options
* › Format imprimable
* › Envoyer à un ami
6 lectures
Le guitariste Paolo Radoni est décédé ce vendredi 21 décembre.
Stupéfaction ce dimanche 23 décembre en lisant le télétexte de la VRT: « Belgische jazzgitarist Paolo Radoni overleden! »
Paolo avait 58 ans. Il s’est éteint à Woluwe des suites d’une pénible maladie. Né dans la péninsule, il s’est établi très jeune en Belgique. Autodidacte, il joue de la guitare dès ses 15 ans.
Il jouera les hits des grands de l’époque (les Shadows, les Stones, les Beatles, …) mais le jazz constitue déjà une passion. Il apprend à connaître Thelonious Monk, Miles Davis, Jimmy Smith en assistant à leurs concerts. Plus tard il découvre la Bossa Nova qui influencera son style.
Ce grand Monsieur fait partie de l’Histoire du rock belge de la fin des sixties, début seventies. En 1968, on le retrouve dans le jazzrock band Here and Now, band dans lequel Marc Hollander (Aksak Maboul, fondateur de Crammed Discs…) a également sévi. Il collabore au génial Arkham, notre Canterbury style band, formé par Jean-Luc Manderlier et Daniel Denis. On le retrouve aussi, pour un temps, chez Kleptomania. La référence bruxelloise du rock des seventies. Il a d’ailleurs fait l’avant-programme de Genesis à Woluwe, en duo acoustique avec Wim Hombergen (chanteur chez Klepto).
Le virus du jazz le reprend, il forme un groupe avec le percussioniste Chris Joris. Pendant plus de 20 ans, on ne compte plus ses nombreuses collaborations: Lee Konitz, Joe Lovano, Paolo Fresu, Toots Thielemans, Steve Houben, Jacques Pirotton, Bruno Castelluci, Ben Sluys, … Il était également professeur au Conservatoire de Bruxelles. Ses éléves ou ex-élèves le vénéraient. Un homme attachant, encourageant, rieur, … disent-ils! De plus il était compositeur et arrangeur.
Heureusement, il laisse un héritage, quelques albums à réécouter les yeux clos:
* Coast to Coast, 1999
* Storie Verde, 1988
* Funny Ways, 1981 (j’ai la chance de le posséder en vinyl)
* Vento, 1978
* A day or two
* …
Sans oublier ses nombreuses participations aux albums de collègues en guest musician: je ne citerai que Fabien Degryse, mais il y en a des dizaines.
Une perte immense!
michel
Ciao Paolo,
Que ton voyage soit en paix. Tu nous manque déjà!
« Tristeza » dans nos coeurs…
Adieu,
Victor da Costa
Très cher Paolo et ses proches,
Je regrette aujourd’hui d’avoir perdu le contact avec toi, ignorant la maladie qui te rongeait…
On s’est rencontré la première fois à la Marlagne au stage, tu as été mon prof, je n’avais alors que 15 ans…j’en ai 28 aujourd’hui.
Tu as demandé à ma Maman que je vienne suivre tes cours à l’académie d’Auvelais, nous habitions encore au Cambodge à ce moment là… et quand nous nous sommes installé en Belgique, j’ai pris plaisir à faire une heure et demi de trajet pour venir à ton cours. Après le cours, on allait boire un verre, tu prenais un bon demi de bière et ca faisait plaisir à voir…tu me ramenais en voiture chez moi, et on parlait de tout, de musique et d’autres passions…
Quel bonheur de t’avoir retrouvé à l’école du mercredi et puis sur la place du sablon, à tes côtés pour le Jazz Marathon, j’étais fière…
J’aurais aimé te dire que j’étais maintenant Maman et je te promets de reprendre ma guitare plus souvent en hommage à ta belle personne.
Paolo m’a beaucoup parlé de vous, Brigitte et Leila mais je n’ai pas la chance de vous connaitre. Je vous souhaite beaucoup de courage. Je garde dans mon coeur la chaleur, le talent, la passion de transmettre et le sourire de Paolo ainsi que son amour pour les femmes…à bientôt,
Madeleine
Ciao Paolo,
Je me souviendrai non seulement du musicien, mais aussi d’un être extrèmement cultivé dont le savoir n’avait d’égal que la gentillesse, l’honnêteté, la tolérance et l’ouverture d’esprit.
Bref, il ne nous reste plus qu’à accepter l’inacceptable…
Love
Renaud
Chères Brigitte et Leïla, je pense bien sûr à toutes les belles leçons de vie partagées avec Paolo. Je suis plein de chagrin et mes pensées vont aussi vers vous.
Puissent-elles vous donner un peu de courage.
Il va tous tellement nous manquer….
Mon cher Paolo,
Je regrette vraiment de ne t’avoir connu qu’une petite douzaine d’années, lorsque je suis venue m’installer a Bruxelles et que j’ai attrappé le virus du jazz.
Tu étais un des tout premiers musiciens de jazz que j’ai vu et entendu jouer et j’étais devenue une très grande fan.
Ce n’est pas que le musicien que je regretterai toujours mais un homme d’une telle gentillesse, d’une grande culture…
Enfin bref, je te dis « aurevoir »
Micheline
Paolo,
Como dizia o Billy Blanco : « Sambra triste, alguem se vai, saudade vem e fica perto… »
Saudades sim, mas com um monte de boas lembranças e por isso te digo do fundo do meu coração, OBRIGADA pra tudo professor!
Até logo!
Sylvine
De tout coeur avec vous en ce triste moment, qu’il repose en paix !
Hervé
Attendre. Pourquoi attendre ? Je voulais écrire moi aussi un mot d’encouragement pour Paolo. Mais je ne parvenais pas à trouver les mots juste. Puis le lendemain, il était trop tard déjà. Depuis je cherche ce que je peux dire sur Paolo. Mais je crains presque que sa résurection ne survienne trop tôt !
Les petites choses sont souvent celles qui nous manquent le plus.
Mais qui vais-je appeler Maître et me faire appeler centimaitre en retour ? (A ce propos, je lui suis infiniment reconnaissant. Il aurait tellement pu choisir millimètre !)
Quoi qu’il en soit, ma seule consolation est de savoir que, forcément, là ou il est, il doit être bien. Très bien.
Ciao Maestro…
Que d’injustice…
Mais hélas, la maladie ne fait pas de détails.
J’ai un regret : n’avoir pu te cotoyer plus.
Deux souvenir inoubliables : une soirée en duo pour le Lyon’s Club de Bruxelles et ces soirées d’après cours à Auvelais…
Quel plaisir d’échanger avec toi sur tous les sujets et d’aprécier ta grande culture et ta gentillesse…
Si le paradis existe, je suis certain que tu les enchantes déjà de tes mélodies…
Bon voyage dans l’au-delà…
A Brigitte :
Nous n’avons eu l’occasion de nous croiser qu’une seule fois chez vous et cela remonte à trop longtemps mais j’ai grandement aprécié votre accueil à la hauteur de la gentillesse de Paolo.
Je suis de tout coeur avec vous dans cette épreuve difficile.
Luc.
Paolo,
Des tonnes de souvenirs me submergent aujourd’hui, de ta connaissance que tu partageais avec tes élèves il me reste encore en mémoire aujourd’hui : « le phrasé elliptique de Jimmy Raney, les riffs incantatoires de Grant Green, les phares sèches et tendues de René thomas dernière période, et bien d’autres choses encore (tu vois je n’ai pas oublié), des anecdotes amusantes que tu prenais plaisir à partager avec nous tes élèves du conservatoires et les saines lectures que tu conseillais. Nos discussions de la Gazetta dello sport.
Tu étais passé à la maison pour m’aider à préparer un examen et me soutenir car je traversais une très mauvaise période, j’ai l’impression que c’était hier et comme toujours ta visite avais été un plaisir.
Aujourd’hui je me rends compte du vide immense que tu va laisser, merci pour tout Paolo, de tout cœur.
ciao Paolo e buon viaggio
Paolo,
Sur ce coup-là, tu as été tellement « quick » que la section rythmique s’emmêle les pinceaux… Tant sont absents: serait-ce de ta part une ultime leçon d’élégance discrète, espérais-tu passer inaperçu derrière un solo de la grande faucheuse ? Eh bien, c’est raté. Le ciel est plombé; il y a des centaines de personnes qui pensent à toi.
Cher Paolo… tu faisais démentir l’adage que « cher collègue » est une invention du Diable. La réalité, c’est que ta voix – aux inflexions uniques -, ton oeil pétillant, ton indépendance d’esprit, ton verbe « to the core » manqueront aux jazzmen, mais aussi aux « classiques » du Conservatoire qui ont eu le plaisir de te fréquenter. Et avec qui échanger des contrepèteries salaces, maintenant ?
Très cher Paolo, il n’y a rien à faire: en voyant une photo de toi, je souris. Et ce n’est pas fini.
Très très cher Paolo… Tout ça, c’est trop tard. Comme toujours.
Très cher Paolo,
Il fait bien triste dans ma tête aujourd’hui.
Et pourtant, que de bons souvenirs, que de conversations enrichissantes sur d’innombrables sujets… Toutes nos rencontres étaient toujours signe de bonne humeur.
Que dire de toutes tes bonnes blagues et jeux de mots qui résonnent encore dans ma mémoire…
Ton talent, ta sensibilité, ton sourire, ton sens de la répartie et encore bien d’autres qualités faisaient de toi un musicien d’exception.
Merci cher Paolo pour tout ce que tu nous as apporté.
Dear Paolo,
Thank you for changing my life and being my teacher/mentor.
Thank you for the conversations, wise words and musical poetry.
I’ll miss you but will keep you in my heart.
Ramsy
Adieu Paolo
je suis triste,la vie est injuste .
Daniel
Très cher ami Paolo,
J’aimais tellement nos rares rencontres. Ton sourire et ta gentillesse. Nos doctes conversations puisées aux meileures sources ( Gazetto dello Sport). Quelque fois des considérations musicales, auxquelles j’avais renoncé depuis longtemps à comprendre et retenir quoi que ce soit.
Désormais le jazz est, pour moi, un peu triste.
Très cher Ami.
Olivier
Au revoir Paolo,
Tu vas me manquer, tes sourires, ta complicité, ton amitié.
Imagine un peu tous ces merveilleux musiciens que tu rejoins et avec qui tu vas pouvoir jouer sans fin, là-haut.
Salue-les pour nous
Quelle chance j’ai eu de te rencontrer.
Au revoir, Paolo.
C’est au nom des Ateliers du Jazz et de l’Ecole du Mercredi que je me permets de prendre la plume à présent.
Merci pour tout ce que tu as fait pour cette humble organisation, pour les conseils précieux que tu as donné aux ensembles de l’Ecole du Mercredi, pour ta constante bonne humeur et ta présence lors de nos concerts et jams à l’Athanor Studio.
Je sais que tous ceux qui t’ont connu et ont eu la chance de s’inspirer de tes conseils t’en seront reconnaissants leur vie durant. Pour tous ceux-là, tu étais bien plus qu’un simple professeur.
Merci encore, cher Paolo, pour tout cela.
Tu vas nous manquer …
Luc, pour les Ateliers du Jazz
C’est Frank qui m’a appris la nouvelle, on ne peux qu’avoir un choc!
Paolo, je l’ai connu en 1969, lors de sa période « Rock » avec « Here and Now ». C’était déganté, truffé de blagues sur scène, une dose d’humour que tous connaissent de lui. Mais ici, il y avait l’image et la gestuelle en prime, quel bonheur… le voir jouer pendant qu’on l’emballait avec du papier toilette! Certes une image différente de celle que l’on connais de lui dans le Jazz, mais beaucoup pourront très bien l’imaginer.
Il est le premier fan Belge de Frank Zappa que je connaisse, une facette de plus à sa disposition de partager ses connaissances musicales.
Tout ceci n’est qu’une anecdote parmi de nombreux moments.
Ma pensé est cependant triste, et je ne pourrais mieux l’exprimer que ce qu’a écrit Frank Wuyts. Il y a désormais une absence qui nous marque.
Au revoir Paolo,
Nos routes se sont croisées parfois.
Merci pour ton soutien inoubliable, tes conseils, ton talent , ta musique,…
Merci à toi
J’ai appris ton décès le 22 décembre, et c’est le jour de mon anniversaire. Le crabe me mange aussi, je tente de lui faire face. Alex m’a donné envie de « jouer » de la basse, à moi qui ne suis que batteur (de blancs en neige), et sans le savoir, tu m’as donné l’amour de Gato Barbieri, au grand dam de mon père, et ce vinyl m’a bercé toute ma vie. Paolo, comme dit mon copain david, tu es un grand. chapeau bas, j’arrive…garde-moi une place pas trop loin. pierre
Au revoir Paolo.
Avant, je croyais que les jazzmen étaient éternels. J’ai eu subitement un doute et puis j’ai réécouté … Décidément, les jazzmen sont éternels! Merci Paolo
Il y a 15 ans, une première rencontre. Puis un rendez-vous de la vie pour se revoir grâce à Paolo L, Bruno C, et les autres, et un beau projet en produisant ce trésor qui sommeillait: le cd du trio guitare, le dernier … Et les classes du Maestro … magistrales.
Merci Paolo pour ces instants trop courts d’échange, sur la musique bien sûr, mais aussi sur la vie, ses plaisirs, ses mystères … et en voilà un. Trop court tout çà!
Ciao Maestro.
Cher Paolo,
Cela faisait bien longtemps que l’on ne s’était plus vus. Je me souviens. Tu as toujours été gentil pour moi. Cette gentillesse ne s’oublie certainement pas.
Je pense à toi. Keep making beautiful.
Kate *